La peur du jugement : et si ce n’était pas réel ?

Combien de fois vous êtes-vous arrêté par peur d’être jugé ?
Combien de fois avez-vous rendu l’opinion des autres plus importante que votre propre choix ?

Beaucoup d’entre nous passons notre vie à nous réduire, à éviter de briller, à freiner nos envies ou nos projets… juste pour ne pas recevoir les jugements, projections et critiques des autres. Et si c’était exactement ce qui maintient les limitations en place ?

Le jugement n’est pas réel. C’est un point de vue.

Et comme tout point de vue, il peut être changé, contourné, ignoré ou utilisé comme tremplin.

Quelle inspiration puis-je être ?

Au lieu de vous niveler vers le bas pour correspondre aux limitations des autres, que se passerait-il si vous choisissiez d’être l’énergie qui inspire ? Pas pour changer les autres, mais pour leur montrer qu’un autre choix est possible.

Et si les jugements étaient aussi un cadeau ?

Et si un jugement n’était qu’une information ? Plutôt qu’un couperet ou une attaque. Et si c’était juste une indication d’énergie ? On juge souvent ce qu’on ne se permet pas d’être.

Chaque jugement est en réalité une révélation : il montre là où vous, ou la personne qui juge, n’avez pas encore choisi d’être totalement libre.

Est-ce qu’un jugement vous touche ? C’est peut-être parce que vous avez rendu quelque chose de réel dedans. Vous avez acheté une partie de ce point de vue et vous l’avez solidifiée en vous. Plutôt que de lutter ou de résister, vous pouvez vous demander :

Quel est mon point de vue ici ?

Ou simplement dire :
Tout ceci, je le détruis et je le décrée, fois un dieulliard. Right and wrong, good and bad, POD and POC, all 100, shorts, boys, POVADs, creations, bases and beyonds.

Quelques outils Access à explorer

Point de vue intéressant que j’aie ce point de vue. Point de vue intéressant qu’il ait ce point de vue. Point de vue intéressant que j’aie ce point de vue qu’il ait ce point de vue.
Chaque fois que vous recevez un jugement, qu’il vienne de vous ou des autres, vous pouvez répéter cette suite. Cela allège instantanément, défait les attaches et redonne de l’espace pour être vous, au-delà des projections.

À qui ça appartient ?
Et si ce jugement n’était même pas à vous ? 98 % de ce que vous percevez ne vous appartient pas. Demandez-vous simplement : « À qui ça appartient ? » Puis retour à l’envoyeur, avec conscience attachée. Est-ce que vous êtes en train de vous arrêter dans votre vie à cause de quelque chose qui, au fond, ne vous concerne même pas ?

Et si c’était juste de l’énergie ?
Les mots, les projections, les critiques… et si vous pouviez les recevoir comme une énergie qui passe à travers vous, sans vous arrêter ?

Et si vous ne faisiez plus du jugement une prison ?

Le jugement n’a de pouvoir que si vous le rendez réel et important. Et si, au lieu de fuir, vous osiez vous agrandir encore plus ? Vous pourriez devenir cette présence qui invite au changement, simplement en étant vous.

Explorer au-delà du jugement :