Halloween et si les fantômes n’étaient pas si effrayants ?

Quand on pense à Halloween aujourd’hui, on imagine les citrouilles, les costumes et les films d’horreur. On joue à se faire peur, on décore les maisons avec des fantômes en plastique et des toiles d’araignée. Mais à l’origine, Halloween avait une tout autre énergie.

Cette fête vient de la célébration celtique de Samhain, un moment de l’année où l’on croyait que le voile entre le monde visible et l’invisible devenait plus fin. Les Celtes allumaient de grands feux, se déguisaient pour se protéger et fabriquaient des lanternes pour reconnaître les esprits. Ce n’était pas du folklore, c’était une manière de vivre avec la conscience qu’il existe plus que ce que l’on voit.

Au fil des siècles, Halloween a changé de visage. La Toussaint et la fête des Morts se sont ajoutées, puis la fête a traversé l’Atlantique avec les immigrants irlandais. Aux États-Unis, elle est devenue cette célébration populaire que nous connaissons, avec « des bonbons ou un sort », les sucreries et les décorations effrayantes. Mais si l’on regarde en dessous, Halloween porte encore ce rappel : il existe un monde invisible.

Et si les fantômes n’étaient pas ces figures terrifiantes qu’on nous montre ? Et s’ils étaient simplement des présences, parfois perdues, parfois familières, qui cherchent à être reconnues ? Comme le propose Shannon O’Hara dans Parler aux Entités, communiquer avec les esprits n’est pas forcément étrange ni dangereux. C’est une capacité que beaucoup d’entre nous possèdent déjà, même sans l’avoir développée.

Et si nous changions notre regard ? Plutôt que de voir les fantômes comme des menaces, nous pourrions les considérer comme des présences à rencontrer, à comprendre, à écouter. Halloween devient alors une invitation à accueillir l’invisible avec curiosité plutôt qu’avec peur.

Et si ce n’était pas une blague, mais une porte qui s’ouvre vers un monde qui vit à côté du nôtre ? Halloween peut alors devenir bien plus qu’une fête commerciale. C’est l’occasion de se rappeler que nous sommes entourés de présences, que nous avons des capacités subtiles et que nous pouvons choisir d’en faire l’expérience avec aisance. Et vous, qu’est-ce que vous pourriez découvrir si vous osiez écouter ces voix invisibles, au lieu de les repousser ?

Vous voulez aller plus loin ? Voici trois ressources pour explorer le sujet :

• Le site Parler aux entités — un espace pour découvrir plus sur le monde invisible et trouver des informations pratiques sur la communication avec les esprits : Parler aux entités.
• Le livre Parlez aux entités, de Shannon O’Hara — un guide vivant et personnel qui change notre regard sur les fantômes et les esprits. Shannon y partage son expérience et nous invite à développer nos propres capacités pour reconnaître, comprendre et dialoguer avec l’invisible.
• Les classes Parler aux entités – Introduction — pour découvrir concrètement ces outils et commencer à être à l’aise avec la présence des esprits. Vous trouverez les prochaines classes ici : Classes Parler aux entités – Introduction.